26 février 2024

Article publié dans Rotary Mag de mars 2024

Mes parents se joignent à moi pour redire toute notre reconnaissance aux membres du Rotary Club d’Ambert qui nous honorent de leur confiance en rajoutant la générosité de leur soutien et dans la circonstance un remerciement chaleureux à Madame Andrée Perez.


Après Le Puy, Arpajon S/Cère et St Pourçain S/Sioule notre dernier concert donné à l’église Ste Jeanne d’Arc de Clermont-Ferrand.

Panorama de Clermont-Ferrand

Affiche du concert

“les personnes de la photo ci-dessus ne sont pas celles et ceux qui ont participé aux quatre concerts”

L’église Sainte-Jeanne-d'Arc de Clermont-Ferrand

L’église Sainte-Jeanne-d'Arc de Clermont-Ferrand fut construite autour de 1927, à la limite des quartiers des Salins et de Vallières. Entièrement réalisée en béton, elle est l'une des plus grandes églises de la ville après la cathédrale. La façade est précédée d'un porche et flanquée d'un clocher polygonal.Ses vitraux réalisés par les ateliers Mauméjean représentent principalement des portraits de saints pour ceux des bas-côtés, et des épisodes de la vie de Jeanne d'Arc pour ceux du transept et du chœur.

Vitraux Ste Jeanne d'Arc

Installation, mise en place et dernière répétition avant le concert.

Blaise Plumettaz présente le concert.

Blaise Plumettaz notre chef d’orchestre salue celles et ceux nombreux venus nous écouter en présentant l’œuvre de Brahms “ Ein Deutsches Requiem”  « Un requiem allemand » pour chœur, solistes (soprano et baryton), et orchestre que nous allons ensemble interpréter.

Brahms ne mentionne que l’été 1866 comme date de sa composition. En fait, “ce Requiem” fut écrit pendant deux périodes, de 1854 à 1859 et de 1864 à 1868: soit 14 années. C’est dire la place importante qu’elle occupe dans la vie de Brahms et dans sa réflexion sur le sens de la vie humaine. Il s’agit d’une œuvre de jeunesse: commencée entre 21 et 26 ans puis reprise entre 31 et 35 ans. Rappelons que Brahms mourut en 1897, à l’âge de 64 ans. Son écriture musicale témoigne d’une grande concentration, mais aussi d’une discrétion certaine protégeant les replis de l’âme inquiète d’un homme un peu hors du monde mais soucieux de transmettre dans le murmure et l’alchimie de la musique une perfection entrevue ailleurs.. Comme l’indiquera notre chef d’orchestre il ne s’agit pas d’une œuvre lugubre mais celle d’une promesse heureuse d’un homme habité dans ses certitudes, d’une spiritualité secrète et d’un désir évident de la transmettre et de la faire partager.

 

 

     

 

 

        

“Je me souviendrai plus tard que c’est avec Brahms que j’ai joué pour la première fois en partition 1er Violon.”